Courage fuyons!
Le comte d'Artois est l'un des premiers à émigrer, le 16 juillet 1789.
Il parcourt les diverses cours de l'Europe pour chercher des défenseurs à la cause royale. Il se trouve à Turin — chez son beau-père et son beau-frère — de septembre 1789 à juillet 1791, où il porte alors le titre de « marquis de Maisons », ainsi qu'à Bruxelles, Coblence, résidence de son oncle maternel l'archevêque-électeur de Trêves et Liège.
Il quitte Hamm en août 1794 comme « comte de Ponthieu ». Il se rend enfin en Grande-Bretagne et assiste aux conférences de Pillnitz, en 1791.
Nommé lieutenant général du royaume par son frère le comte de Provence (alors connu sous le titre de « Monsieur » avant le 21 janvier 1791) après la mort de leur frère Louis XVI, du 28 janvier 1793 à 1814.
À la mort de son neveu Louis XVII le 8 juin 1795, il est appelé Monsieur. Il veut opérer, avec le secours des Anglais, un débarquement à l'île d'Yeu sur les côtes de Vendée (1795) afin d'aider les insurgés Vendéens, mais il n'y peut réussir. Il se rend en Grande-Bretagne où il passe le reste de la Révolution et du Premier Empire.
Succédant à ses deux frères, Louis XVI et Louis XVIII, il est celui dont l'avènement à 66 ans et le décès à 79 ans ont eu lieu aux âges les plus avancés.
Il était très attaché aux conceptions et aux valeurs de l'Ancien Régime qu'il tenta de faire revivre, après le passage révolutionnaire, tout en acceptant en majorité les valeurs de son temps.
Sacré en 1825, il est renversé en 1830 par une nouvelle révolution qui l'oblige à s'exiler de nouveau.
La fuite de Charles X permet à son cousin le duc d'Orléans, fils de Philippe Égalité, qui avait voté la mort de Louis XVI, de se proclamer d'abord régent du royaume, ensuite d'évincer le duc de Bordeaux, (petit fils de Charles X), puis de se faire reconnaître en 1830 roi des Français.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_X
Deux événements importants marquent la politique étrangère de Charles X :
Le comte d'Artois est l'un des premiers à émigrer, le 16 juillet 1789.
Il parcourt les diverses cours de l'Europe pour chercher des défenseurs à la cause royale. Il se trouve à Turin — chez son beau-père et son beau-frère — de septembre 1789 à juillet 1791, où il porte alors le titre de « marquis de Maisons », ainsi qu'à Bruxelles, Coblence, résidence de son oncle maternel l'archevêque-électeur de Trêves et Liège.
Il quitte Hamm en août 1794 comme « comte de Ponthieu ». Il se rend enfin en Grande-Bretagne et assiste aux conférences de Pillnitz, en 1791.
Nommé lieutenant général du royaume par son frère le comte de Provence (alors connu sous le titre de « Monsieur » avant le 21 janvier 1791) après la mort de leur frère Louis XVI, du 28 janvier 1793 à 1814.
À la mort de son neveu Louis XVII le 8 juin 1795, il est appelé Monsieur. Il veut opérer, avec le secours des Anglais, un débarquement à l'île d'Yeu sur les côtes de Vendée (1795) afin d'aider les insurgés Vendéens, mais il n'y peut réussir. Il se rend en Grande-Bretagne où il passe le reste de la Révolution et du Premier Empire.
Succédant à ses deux frères, Louis XVI et Louis XVIII, il est celui dont l'avènement à 66 ans et le décès à 79 ans ont eu lieu aux âges les plus avancés.
Il était très attaché aux conceptions et aux valeurs de l'Ancien Régime qu'il tenta de faire revivre, après le passage révolutionnaire, tout en acceptant en majorité les valeurs de son temps.
Sacré en 1825, il est renversé en 1830 par une nouvelle révolution qui l'oblige à s'exiler de nouveau.
La fuite de Charles X permet à son cousin le duc d'Orléans, fils de Philippe Égalité, qui avait voté la mort de Louis XVI, de se proclamer d'abord régent du royaume, ensuite d'évincer le duc de Bordeaux, (petit fils de Charles X), puis de se faire reconnaître en 1830 roi des Français.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_X
Deux événements importants marquent la politique étrangère de Charles X :
- l'intervention en faveur des Grecs, qui aboutit à la victoire de Navarin (1827) et entraîne l'affranchissement de la Grèce (1830) ;
- l'expédition contre le dey d'Alger, qui aurait offensé par un coup d'éventail le consul de France, expédition qui conduit à la prise d'Alger (6 juillet 1830) par le maréchal de Bourmont.
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