En 1808, le roi du Portugal Jean VI doit fuir Lisbonne pour Rio de Janeiro devant les troupes napoléoniennes qui envahissent son pays.
Rio devient alors capitale de l’empire colonial portugais.
C’est alors que le pays perdit son statut colonial et put commercer avec tous les pays (Carta Regia), l’interdiction de créer des manufactures fut levées et la première université fondée. L’Angleterre assura la protection du Brésil en échange d'intéressants contrats commerciaux. Même après le départ des troupes napoléoniennes du Portugal, la cour resta à Rio.
Après un soulèvement le 24 août 1820, des élections désignèrent des Cortes constituants. Une régence de 5 personnes gouverna jusqu'au 4 juillet 1821 quand Jean VI prit ses fonctions de roi constitutionnel au Portugal après avoir quitté le Brésil le 26 avril. Le fils de Jean VI, Pierre I (Pierre Ier du Brésil - Pierre IV de Portugal) resté au Brésil comme régent, refusa de se rendre au Portugal et
proclama l’indépendance du Brésil le 7 septembre 1822 à São Paulo. Ceci rentra à la postérité comme le cri d’Ipiranga. Après 2 ans de combats contre les forces portugaises, le Brésil obtient officiellement son indépendance le .
Amérique Espagnole:
La domination économique de la métropole mécontente les élites créoles (blancs nés dans les colonies).
À l'instar de Simón Bolívar, elles s'inspirent de la Révolution française,
et profitent de l'occupation de l'Espagne par Napoléon Ier en 1808 pour proclamer l'indépendance des pays d'Amérique latine, malgré la répression espagnole et plusieurs affrontements militaires entre 1811 et 1825. Il proclame l'indépendance de la Vice-royauté de Nouvelle-Grenade qui devient la République de (Grande) Colombie. Tandis que la Vice-royauté du Río de la Plata, sous l'impulsion de José de San Martín, devient la République argentine. La Nouvelle-Espagne devient à son tour indépendante en 1821 sous le nom de Mexique.
Simón José Antonio de la Santísima Trinidad Bolívar y Palacios, plus connu sous le nom de
Simón Bolivar, surnommé le Libertador, né le 24 juillet 17831 à Caracas au Venezuela, et mort le 17 décembre 1830 à Santa Marta en Colombie, est un général et homme politique sud-américain. Anti-impérialiste et nationaliste, il est une figure emblématique, avec l'Argentin José de San Martín, de l'émancipation des colonies espagnoles d'Amérique du Sud dès 1813. Il participa de manière décisive à l'indépendance des actuels Bolivie (1825), Colombie (1810), Équateur (1830), Pérou (1821) et Venezuela (1811).
À l'instar de Simón Bolívar, elles s'inspirent de la Révolution française,
et profitent de l'occupation de l'Espagne par Napoléon Ier en 1808 pour proclamer l'indépendance des pays d'Amérique latine, malgré la répression espagnole et plusieurs affrontements militaires entre 1811 et 1825. Il proclame l'indépendance de la Vice-royauté de Nouvelle-Grenade qui devient la République de (Grande) Colombie. Tandis que la Vice-royauté du Río de la Plata, sous l'impulsion de José de San Martín, devient la République argentine. La Nouvelle-Espagne devient à son tour indépendante en 1821 sous le nom de Mexique.
Simón José Antonio de la Santísima Trinidad Bolívar y Palacios, plus connu sous le nom de
Simón Bolivar, surnommé le Libertador, né le 24 juillet 17831 à Caracas au Venezuela, et mort le 17 décembre 1830 à Santa Marta en Colombie, est un général et homme politique sud-américain. Anti-impérialiste et nationaliste, il est une figure emblématique, avec l'Argentin José de San Martín, de l'émancipation des colonies espagnoles d'Amérique du Sud dès 1813. Il participa de manière décisive à l'indépendance des actuels Bolivie (1825), Colombie (1810), Équateur (1830), Pérou (1821) et Venezuela (1811).
Bolivar participa également à la création de la Grande Colombie, dont il souhaitait qu'elle devînt une grande confédération politique et militaire regroupant l'ensemble de l'Amérique latine, et dont il fut le premier Président.
Le titre honorifique de Libertador lui fut d'abord accordé par le Cabildo de Mérida (Venezuela), puis ratifié à Caracas (1813), et reste aujourd'hui encore associé à son nom. Bolivar rencontra tant d'obstacles pour mener à bien ses projets qu'il en arriva à s'appeler lui-même « l'homme des difficultés », dans une lettre adressée au général Francisco de Paula Santander en 1825.
Figure majeure de l'histoire universelle, Bolivar est aujourd'hui une icône politique et militaire dans de nombreux pays d'Amérique latine et dans le monde, qui ont donné son nom à un très grand nombre de places, de rues ou de parcs. Son nom est aussi celui d’un État du Venezuela, d’un département de la Colombie et surtout d’un pays, la Bolivie
Le titre honorifique de Libertador lui fut d'abord accordé par le Cabildo de Mérida (Venezuela), puis ratifié à Caracas (1813), et reste aujourd'hui encore associé à son nom. Bolivar rencontra tant d'obstacles pour mener à bien ses projets qu'il en arriva à s'appeler lui-même « l'homme des difficultés », dans une lettre adressée au général Francisco de Paula Santander en 1825.
Figure majeure de l'histoire universelle, Bolivar est aujourd'hui une icône politique et militaire dans de nombreux pays d'Amérique latine et dans le monde, qui ont donné son nom à un très grand nombre de places, de rues ou de parcs. Son nom est aussi celui d’un État du Venezuela, d’un département de la Colombie et surtout d’un pays, la Bolivie
Les états d'Amérique centrale:
En 1821, suivant l'exemple des pays voisins, le Nicaragua proclame son indépendance de l'Espagne et intègre la coalition des pays d'Amérique centrale avec le Guatemala, Honduras, El Salvador et Costa Rica.
Le Panama a fait sécession de la Colombie en 1903, ce qui a permis au Corps des ingénieurs de l'armée des États-Unis de terminer la construction du canal de Panama entre 1904 et 1914. (Théodore Roosevelt président de 1901 à 1909).
Le Belize (britanique) obtient l'indépendance en 1981.
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