Les attentats du 13 novembre 2015 en France, revendiqués par l'organisation terroriste État islamique (dite « Daech »), sont une série de fusillades et d'attaques-suicides meurtrières perpétrées dans la soirée à Paris et dans sa périphérie par trois commandos distincts.
Une première attaque a lieu à Saint-Denis, aux abords du stade de France, où se joue un match amical de football France-Allemagne — auquel assiste François Hollande — et où trois terroristes se font exploser (Probablement par ce qu'ils n'ont pas réussi à pénétrer à l'intérieur du stade. Ce sont les tout premiers attentats-suicide en France).
Cinq autres attaques ont ensuite lieu à Paris, dans les 10e et 11e arrondissements, où trois individus mitraillent des terrasses de cafés et de restaurants ; deux d'entre eux prennent la fuite, le troisième se fait exploser:
Vers 21h30, des coups de feux ont retenti dans le 10e arrondissement près du restaurant Le Petit Cambodge et le bar Le Carillon, situés à l’angle de la rue Alibert et de la rue Bichat (10e arrondissement). 14 morts.
La belle équipe, Rue de Charonne: 19 morts
Dix-neuf personnes ont perdu la vie vendredi soir à la Belle Equipe, bistrot de la rue de Charonne, dans le XIe arrondissement de Paris. Grégory Reibenberg, 46 ans, le patron de l’établissement, est sauf. Sa femme Djamila, 40 ans, a été tuée dans la fusillade. Comme huit des employés et dix clients. Grégory est juif, Djamila était musulmane
Une attaque a également eu lieu boulevard Voltaire, de l'autre côté de la place de la République. Le kamikaze est mort. Pas de victimes à déplorer.
Enfin, l'attaque la plus longue et la plus meurtrière a lieu dans la salle de spectacle du Bataclan (également dans le 11e arrondissement), où 1 500 personnes assistent au concert du groupe de rock américain Eagles of Death Metal et où trois autres djihadistes ouvrent le feu sur le public, avant qu'un assaut des forces de l'ordre n'y mette fin et ne tue les terroristes à 0h45
Au moins 82 morts.
130 morts au total
Une première attaque a lieu à Saint-Denis, aux abords du stade de France, où se joue un match amical de football France-Allemagne — auquel assiste François Hollande — et où trois terroristes se font exploser (Probablement par ce qu'ils n'ont pas réussi à pénétrer à l'intérieur du stade. Ce sont les tout premiers attentats-suicide en France).
Cinq autres attaques ont ensuite lieu à Paris, dans les 10e et 11e arrondissements, où trois individus mitraillent des terrasses de cafés et de restaurants ; deux d'entre eux prennent la fuite, le troisième se fait exploser:
Vers 21h30, des coups de feux ont retenti dans le 10e arrondissement près du restaurant Le Petit Cambodge et le bar Le Carillon, situés à l’angle de la rue Alibert et de la rue Bichat (10e arrondissement). 14 morts.
La belle équipe, Rue de Charonne: 19 morts
Dix-neuf personnes ont perdu la vie vendredi soir à la Belle Equipe, bistrot de la rue de Charonne, dans le XIe arrondissement de Paris. Grégory Reibenberg, 46 ans, le patron de l’établissement, est sauf. Sa femme Djamila, 40 ans, a été tuée dans la fusillade. Comme huit des employés et dix clients. Grégory est juif, Djamila était musulmane
Une attaque a également eu lieu boulevard Voltaire, de l'autre côté de la place de la République. Le kamikaze est mort. Pas de victimes à déplorer.
Enfin, l'attaque la plus longue et la plus meurtrière a lieu dans la salle de spectacle du Bataclan (également dans le 11e arrondissement), où 1 500 personnes assistent au concert du groupe de rock américain Eagles of Death Metal et où trois autres djihadistes ouvrent le feu sur le public, avant qu'un assaut des forces de l'ordre n'y mette fin et ne tue les terroristes à 0h45
Au moins 82 morts.
130 morts au total
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